F comme Féminicide, par Marion Tillious, enseignante-chercheuse en géographie et en études de genre à l’université Paris 8

Marion Tillous, enseignante-chercheuse en géographie et en études de genre à l’université Paris 8, s’interroge sur la notion de « féminicide » : dans un contexte de crise sanitaire et de confinement marqué par davantage de plaintes pour violences conjugales, pourquoi y a-t-il eu moins de meurtres de femmes ? Quelle est l’origine historique du terme « féminicide » qui désigne la particularité de certains meurtres de femmes ? Et quel est l’impact du politique du confinement ainsi que du déconfinement sur les féminicides ?

La série des Conf(in)érences de Paris 8 est une fenêtre ouverte sur le bouillonnement intellectuel au sein de la communauté de l’Université provoqué par l’épidémie de Covid-19 et le confinement. Avec les moyens du bord imposés par les circonstances, les spécialistes de toutes les disciplines évoquent leurs travaux et leurs réflexions sur une liste de notions et de concepts.

Idée originale : Joël Chandelier, Pascal Froissart et Hugo Pilkington
Captation vidéo : BigBlueButton, logiciel ouvert de visioconférence
Post-production : Pôle création audiovisuelle de l’Université

Voir aussi

S comme Scientifiques en danger, par Sophie Wauquier, chargée de mission « Université pour la paix » à l’université Paris 8
P comme Pratiques complémentaires, par Antoine Bioy, professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’université Paris 8
R comme Rap, par Keivan Djavadzadeh, enseignant-chercheur en communication à l’université Paris 8
P comme Prévention, par Jacqueline Descarpentries, enseignante-chercheuse en sciences de l’éducation à l’université Paris 8
L comme Libre, Hacker, Maker, par Sébastien Broca, enseignant-chercheur en communication à l’université Paris 8
J comme Journal de confinement, par Arnaud Laimé, enseignant-chercheur en littérature latine et française à l’université Paris 8

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