Journée d’Études - Être et naître victime(s) ? Constructions ultra-contemporaines de la figure de la victime de violences politiques

Mis à jour le 16 février 2021
Penser la victimité à l’époque contemporaine nous invite à analyser non seulement les stratégies discursives et esthétiques mises en place dans la construction de la figure de la victime –en particulier, la victime de violences politiques – mais aussi ses différents modes d’expression et de diffusion.
L’apparition de la justice transitionnelle ainsi que la multiplication des réseaux sociaux réinterrogent la place de la victime dans la société ainsi que la portée de sa voix. C’est à l’analyse de cette nouvelle configuration que se consacre cette journée d’étude, volontairement inscrite sous le sceau de la transdisciplinarité. Les études littéraires et artistiques, le droit, l’anthropologie ou encore la sociologie nous permettront de déconstruire l’image première associant la victime à la passivité – du fait de la violence subie – pour mettre en lumière son agentivité et la pluralité de ses manifestations.
L’apparition de la justice transitionnelle ainsi que la multiplication des réseaux sociaux réinterrogent la place de la victime dans la société ainsi que la portée de sa voix. C’est à l’analyse de cette nouvelle configuration que se consacre cette journée d’étude, volontairement inscrite sous le sceau de la transdisciplinarité. Les études littéraires et artistiques, le droit, l’anthropologie ou encore la sociologie nous permettront de déconstruire l’image première associant la victime à la passivité – du fait de la violence subie – pour mettre en lumière son agentivité et la pluralité de ses manifestations.
Organisation
- Marion Billard (Sorbonne Nouvelle - Paris 3, ED 122, CREC, EA 2292)
- Élishéva Gottfarstein (Sorbonne Nouvelle - Paris 3, ED 625, ICEE, EA 2291)
- Macarena Miranda (Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, ED 31, LER, EA 4385)