La bibliothèque francophone reçoit Maryam Madjidi !

Mis à jour le 28 mars 2022
Originaire de l’Iran, Maryam Madjidi quitte son pays en 1986. Sa famille s’installe en France, à Paris puis à Drancy. Elle entreprend des études de lettres à la Sorbonne et rédige un mémoire de maîtrise en littérature comparée qui porte sur deux auteurs iraniens : le poète Omar Khayyâm et le romancier Sadegh Hedayat.
Depuis février 2016, elle travaille en tant qu’enseignante de FLE pour la Croix-Rouge française auprès des mineurs non accompagnés.
Se consacrant à l’écriture, son premier roman, Marx et la Poupée paraît en 2017 aux éditions Le Nouvel Attila. De sa naissance à ses premières années d’exil en France, le roman évoque la révolution iranienne, l’abandon du pays et l’éloignement de sa famille. En mai 2017, l’ouvrage est récompensé du prix Goncourt du premier roman, puis du prix du roman Ouest-France Étonnants Voyageurs, ainsi que du prix Soroptimist de la romancière francophone 2018. Pour que je m’aime encore parait au Nouvel Attila en 2021.
Cette rencontre est organisée par F. Allouache, J. Peillon, les étudiant.e.s de la licence de Lettres et la BU de Paris 8.
Depuis février 2016, elle travaille en tant qu’enseignante de FLE pour la Croix-Rouge française auprès des mineurs non accompagnés.
Se consacrant à l’écriture, son premier roman, Marx et la Poupée paraît en 2017 aux éditions Le Nouvel Attila. De sa naissance à ses premières années d’exil en France, le roman évoque la révolution iranienne, l’abandon du pays et l’éloignement de sa famille. En mai 2017, l’ouvrage est récompensé du prix Goncourt du premier roman, puis du prix du roman Ouest-France Étonnants Voyageurs, ainsi que du prix Soroptimist de la romancière francophone 2018. Pour que je m’aime encore parait au Nouvel Attila en 2021.
Cette rencontre est organisée par F. Allouache, J. Peillon, les étudiant.e.s de la licence de Lettres et la BU de Paris 8.