Du campus à la Croisette, le parcours de Mélissa Boros, étudiante et actrice
À seulement 19 ans, Mélissa Boros incarne déjà une trajectoire rare et inspirante. Étudiante en licence de cinéma à l’Université Paris 8, elle a fait ses premiers pas dans le 7ème art en 2024 avec Le Silence de Sibel d’Aly Yeganeh. Un an plus tard, elle gravit les marches du Festival de Cannes 2025 en tant qu’actrice principale du très attendu Alpha, le nouveau long métrage en compétition officielle de Julia Ducournau. Cette dernière, connue pour ses films puissants comme Grave et Titane (Palme d’or 2021), est l’une des réalisatrices les plus marquantes du cinéma français actuel. Grâce à Alpha, Mélissa se fait connaître du grand public. Une étape marquante pour sa jeune carrière et une grande fierté pour la communauté universitaire.
Originaire de la région parisienne, Mélissa Boros est issue d’une famille franco-marocaine et hongroise. Elle grandit dans un environnement multiculturel qu’elle revendique aujourd’hui comme une richesse et une source d’inspiration. Repérée lors d’un atelier artistique associatif, elle est castée sans expérience dans un premier rôle remarqué. Autodidacte, elle se forge sur les plateaux, en parallèle de ses études à Paris 8 où elle s’investit dans la vie universitaire en tant que déléguée d’année.
Mélissa ne sépare jamais l’art de l’engagement. Sur Instagram, où elle est très active, elle partage ses dessins et créations visuelles, souvent liés à ses prises de position : soutien aux droits LGBTQIA+, solidarité avec la Palestine, militantisme écologique et antiraciste. Elle se décrit comme une artiste qui « compose avec l’imagination », — une formule qui résume bien l’équilibre entre son expression artistique et ses valeurs.
Dans Alpha, Mélissa incarne une adolescente confrontée à une maladie étrange, métaphore du VIH/sida dans les années 1980. Le film, marqué par l’esthétique corporelle et sensorielle de Julia Ducournau, a divisé la critique, mais tous s’accordent sur la puissance du jeu de l’actrice principale. Sa présence à l’écran est qualifiée de « magnétique », son interprétation de « juste et bouleversante ». Elle donne la réplique à des comédiens de renom :
Un baptême du feu impressionnant pour une actrice qui, quelques mois plus tôt, était encore sur les bancs de l’université.
Le magazine Vogue la présente comme « l’une des révélations du cinéma français à suivre de près ». Vanity Fair, pour sa part, lui consacre une interview exclusive à l’occasion de sa première montée des marches. Ces reconnaissances médiatiques viennent confirmer une intuition : Mélissa Boros fait partie de cette nouvelle génération d’artistes engagés, sensibles et puissants, qui redéfinissent les contours du cinéma contemporain
Par son parcours de réussite atypique, Mélissa Boris dit beaucoup de ce qu’on peut faire et devenir à Paris 8, qui est attachée à valoriser les talents de chacune et de chacun et fait de la diversité, de la créativité et de l’engagement des ressorts pour faire grandir ces talents. Elle témoigne aussi de la manière dont un établissement public peut accompagner des vocations artistiques dans leurs dimensions scolaires, sociales et professionnelles.
L’article que vous lisez ne cherche pas à résumer une carrière qui ne fait que commencer. Il invite plutôt à découvrir cette étudiante-actrice, dont les projets à venir s’annoncent nombreux. Vous pouvez retrouver ses travaux et ses engagements sur son compte Instagram (@melissaboros__), et l’y suivre à travers ses grands rendez-vous du cinéma.
Une étudiante engagée et passionnée
Originaire de la région parisienne, Mélissa Boros est issue d’une famille franco-marocaine et hongroise. Elle grandit dans un environnement multiculturel qu’elle revendique aujourd’hui comme une richesse et une source d’inspiration. Repérée lors d’un atelier artistique associatif, elle est castée sans expérience dans un premier rôle remarqué. Autodidacte, elle se forge sur les plateaux, en parallèle de ses études à Paris 8 où elle s’investit dans la vie universitaire en tant que déléguée d’année.
Mélissa ne sépare jamais l’art de l’engagement. Sur Instagram, où elle est très active, elle partage ses dessins et créations visuelles, souvent liés à ses prises de position : soutien aux droits LGBTQIA+, solidarité avec la Palestine, militantisme écologique et antiraciste. Elle se décrit comme une artiste qui « compose avec l’imagination », — une formule qui résume bien l’équilibre entre son expression artistique et ses valeurs.
Une révélation à l’écran dans Alpha
Dans Alpha, Mélissa incarne une adolescente confrontée à une maladie étrange, métaphore du VIH/sida dans les années 1980. Le film, marqué par l’esthétique corporelle et sensorielle de Julia Ducournau, a divisé la critique, mais tous s’accordent sur la puissance du jeu de l’actrice principale. Sa présence à l’écran est qualifiée de « magnétique », son interprétation de « juste et bouleversante ». Elle donne la réplique à des comédiens de renom :
- Tahar Rahim, acteur français révélé dans Un prophète, récemment interprète de Charles Aznavour dans un biopic ;
- Golshifteh Farahani, actrice franco-iranienne engagée, vue notamment dans Paterson de Jim Jarmusch et Lire Lolita à Téhéran ;
- Emma Mackey, actrice franco-britannique connue pour son rôle dans la série Sex Education et le live-action Barbie.
Un baptême du feu impressionnant pour une actrice qui, quelques mois plus tôt, était encore sur les bancs de l’université.
Le magazine Vogue la présente comme « l’une des révélations du cinéma français à suivre de près ». Vanity Fair, pour sa part, lui consacre une interview exclusive à l’occasion de sa première montée des marches. Ces reconnaissances médiatiques viennent confirmer une intuition : Mélissa Boros fait partie de cette nouvelle génération d’artistes engagés, sensibles et puissants, qui redéfinissent les contours du cinéma contemporain
Par son parcours de réussite atypique, Mélissa Boris dit beaucoup de ce qu’on peut faire et devenir à Paris 8, qui est attachée à valoriser les talents de chacune et de chacun et fait de la diversité, de la créativité et de l’engagement des ressorts pour faire grandir ces talents. Elle témoigne aussi de la manière dont un établissement public peut accompagner des vocations artistiques dans leurs dimensions scolaires, sociales et professionnelles.
L’article que vous lisez ne cherche pas à résumer une carrière qui ne fait que commencer. Il invite plutôt à découvrir cette étudiante-actrice, dont les projets à venir s’annoncent nombreux. Vous pouvez retrouver ses travaux et ses engagements sur son compte Instagram (@melissaboros__), et l’y suivre à travers ses grands rendez-vous du cinéma.
